État, exercice du pouvoir, séparation des pouvoirs, autorité politique, pouvoir exécutif, pouvoir législatif, souveraineté de l'État, régime représentatif, gouvernement semi-direct
Selon Montesquieu, c'est le pouvoir qui arrête le pouvoir. L'organisation du pouvoir doit se faire sous différents organes qui doivent être indépendants les uns par rapport aux autres. Ils ne doivent pas être nommés. En réalité, il ne devrait pas y avoir de responsabilité ministérielle ni de pouvoir de dissolution à l'égard du législatif.
Dans un premier temps il s'agit d'une séparation stricte des pouvoirs.
À cela s'ajoute évidemment une séparation des pouvoirs, l'objectif est de parvenir à un équilibre entre exécutif et législatif. Avec le risque si jamais la séparation s'avère trop stricte d'une neutralisation réciproque des pouvoirs.
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Lorsque l'on parle de la souveraineté de l'État, on renvoie au peuple dans les régimes démocratiques, on renvoie également à l'autorité suprême, ce pour quoi on évoque le rôle des gouvernants. Ce pour quoi on utilise l'expression État souverain.
La souveraineté sur le plan interne est verticale, il y a subordination des individus à l'autorité de l'État. Alors que sur le plan externe, cette souveraineté s'exprime à partir d'un principe d'égalité entre les États. Il n'y a plus une subordination, mais une indépendance de chacun des États.
[...] Il y eu une bipolarisation de la vie politique, et le scrutin majoritaire à un tour assurait la stabilité. Le résultat est clair et nette. En effet, ce mode de scrutin incite l'électeur à voter utile, il va en effet donner son suffrage qui même s'il ne répond pas directement à ce qu'il souhaite en est le plus proche. Il n'y a pour l'électeur qu'un seul coup à jouer, et il l'utilise pour éliminer celui qu'il ne veut pas. Cela abouti à une bipolarisation avec deux grands partis dans la vie politique. [...]
[...] Le problème ou la question de la souveraineté dans l'état peut être ramené à savoir qui a le droit de commander. Sur un plan juridique on comprend que ce pouvoir appartient à ceux qui en sont régulièrement investis par la constitution. (Ceux qui accèdent au pouvoir selon les règles établies par la constitution). A. La souveraineté de l'Etat Lorsque l'on parle de la souveraineté de l'état on renvoie au peuple dans les régimes démocratiques, on renvoie également à l'autorité suprême, ce pourquoi on évoque le rôle des gouvernants. Ce pourquoi on utilise l'expression état souverain. [...]
[...] Lorsque l'on aborde la question de la souveraineté dans l'Etat on se pose directement la question de savoir qui a le droit de commander. D'un point de vue juridique appartient aux individus qui sont régulièrement investis par la constitution de cette fonction. Celui qui pourra commander c'est celui qui sera régulièrement investit conformément à l'ordre institutionnel en vigueur. Ce qui lui confère une légitimité au moins formelle. Cela confère également au gouvernant une présomption de régularité de leur activité. 1. [...]
[...] Il a eu un déplacement du centre de gravité du pouvoir législatif au pouvoir exécutif. La France en est un exemple, puisque de la II et IV à la Ve république c'est maintenant l'exécutif qui tient un rôle prédominant. Par ailleurs le pouvoir exécutif comprend un pouvoir règlementaire autonome, et de lever les armées. Par ailleurs avec l'ordonnance de l'art 38 avec autorisation du parlement l'exécutif peut agir dans le domaine législatif. Sous la Ve tout ce qui ne relève pas du domaine de la loi relève du domaine règlementaire. [...]
[...] Forme du gouvernement représentatif a. Fonction et nature du mandat représentatif L'idée de mandat représentatif renvoie à l'idée des rapports qui existent entre la nation et ses représentants, c'est-à-dire entre le corps électoral et les assemblées. On considère bien que la nation est le titulaire de la souveraineté, mais cette souveraineté on en délègue que l'exercice aux représentants. Donc l'acte juridique accomplie par le représentant est considéré comme accompli par le représenté lui-même. Lors de la Révolution française on ne va pas lier l'idée de représentation à celle d'élection. [...]
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